Taille d’un groupe humain et complexité culturelle – Pour la Science

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Gérer la rupture et l’effondrement : stratégie à la marge ou gestion collective à grande échelle ?

Pour la Science – 16 décembre 2013

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« Ce modèle (de J. Henrich) prédit ainsi que, au sein des petites populations, l’information culturelle ne peut que se dégrader. C’est ce qui se serait passé en Tasmanie. J. Henrich a ainsi fondé l’idée que la conservation d’un savoir technique au sein d’un groupe humain dépend à la fois de la taille du groupe et de la complexité de la tâche : à taille de groupe égale, la perte d’information est d’autant plus grande que la tâche est complexe ; à niveau de complexité égal, la perte est d’autant plus grande que le groupe est réduit. »

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